Dans mes propes actuations j'essaie de chercher la verité, justice et paix,
dans cet ordre. Primièrement la verité, elimant tromperies, acceptant, après, "le
juste", qui ne peut se confondre avec l'ilegalité, je crois que, seulement depuis ces
deux points on peut arriver a la paix. On ne peut avoir comme point de mire la
paix, sans la vérité et la justice.
Les Corts Valentiennes (17-9-87) ont demandé au CVC un Avis, et
non un pacte, sur les "questions linguistiques", en fonction de l'iniciative
presentée par le Prèsident de la Generalitat dans le débat de Politique Génèrale
de deux principes inquestionables. "notre propre langue porte notre propre
nom", et "autorite lingüistique propre", qui se camouflent dans la prèsentation
de la demande des Corts.
Dans le Ple du CVC du 8-10-97 se presente la résolution des Corts
Valenciennes.
Depuis ce moment j'assiste a un procedé qui commence par la
rédaction d'une convocation d'entités, charte et anexes en catalan, donnant le
même traitement a la Real Academia de Cultura Valenciana (qui dans d'autres
autonomies aurait la plus grande autorité lingüistique) qu'aux autres, choisies
sans avoir un critère préalable de selección, et priorisant les Universités qui
ont démontré, très clairement, qu'elles en reconnaisent la langue valencienne.
Durant toutes les comparaisances j'ai écoute très atentivement toutes
les interventions, en especial les entités qui dèfendent l'identité du valentien et
catalan, hayant trouvé beaucoup d'assevérations esterreotipées, mais en m'ont
donne aucun argument pour que je puisse changer mes propes conviccions
personelles contraires, fruit de l'étude et de la comuncation avec les parlants
naturels de mon peuple valentien, non contaminé.
Quant la metodologie de débat interne, pour l'Avis, se traite, le
25-4-98, je prèsente la petition de qu'il faut éclaircir si l'object de l'avis est la
langue du peuple ou la catalane imposee par "l'immersio", et le 4-5-98, je
demande que la première et principale des "questions lingüistiques" sur lequel
doit se pencher l'Avis doit être le conflit lingüistique qui existe entre :
- La langue qui persite vive dans le peuple valentien.
- La langue qui s'impose dans le contour oficiel, nomenant-là, aussi,
valentien par ceux qui le pratiquent, et que le peuple distingue
parfaitement de la sienne.
Ce conflit n'a pas été crée par le peuple valentien, utilisateur de la
langue valentienne, ni par la Real Academia de la Cultura Valenciana, ni les
associations et ecrivains qui avons vu dans sa normative la concrétion plus
exacte de sa propre langue. La conflit est apparu quant on ha voulu
transformer la langue valentienne, en la soumetant a la catalane, par le moyen
d'une accion dirigée et coordinée.
Comme d'ordinairie, ma petition s'écoute sans donner aucune raison
á modifier la planification de comision de gouvernement, sans la débattre ni
donner d'arguments contraires. Chaque fois que j'ai demandé a mettre sur la
table cette question, il est arrivé la même ignorance. Par contre, il s'accepte la
estructure de l'Avis présentée par les Mrs. Lapiedra et Sanchis-Guarner.
Les écrits des actes se font en catalan.
Malgré que le plan de l'Avis et son élaboration ne me satisfait, je suis
atentif et actif a son procès.
Finalment les Mrs Calomarde et Sanchis-Guarner présentent l'écrit
qui, pratiquement, se prèsente comme texte de concesus, écrit en catalan, sur
lequel se prèsentent multiples propositions pour que soit explicitement
reconnû les origines catalanes du valentien. Nous avons quatre apartés:
Dans le premier il n'apparaît la denomination "langue valentienne", et
il est rédigé de manière a qu'on en doit pas questionner d'autres dénominations
(Par exemple, catalan), ce qui est faux.
Dans le second, se prèsentent les bases ortographiques du 32 comme
Normes de Castello, example de consesus, quant les paroles du President de
la "Castellonenca de Cultura" , dans sa comparaison, ôte la force de ce qui se
prèsente comme un fait historique. Il n'y eût aucunne réunion, ni acte, ni est
dans l'archive de la "Castellonenca", ce fût, seulement, une réunion informelle
de quelques uns, qui après, demandèrent des signatures. Ce fût l'essai
d'introduire les normes de l'Institut d'Estudis Catalans.
Dans le trosième, il se dit que le valentien "fait part du systeme
lingüistique...". Lazaro Carreter afirme que la terminologie système s'utilise
comme sinonime de langue. Donc on peut l'interpreter dans le sens que si une
part d'un systeme, il n'est pas un systeme, il n'est pas une langue. Chose
inadmisible.
Dans la quatrième il se propose la "creation d'une entité
normativisatrice", eliminant celle qui par l'historie et le critère comunement
admis dans toutes les langues espagnoles (Academia Española, Academia
Gallega, Academia Vasca, Institut d'Estudis catalans), est celle qu'on doit
reconnaitre comme entité normative, la Real Academa de Cultura
Valenciana.
On peut conjecturer que cette "creation, observant les
caracteristiques que se proponnent, les pourcentages, la dépendance
perpetuelle de la première dèsignation, etc... est un abandon encouvert aux
actifs envahisseurs catalanisateurs, que nous connaissons de près.
Maintenant, nous avons sur la table tous les éléments de jugement,
je me nie a accepter comme Avis sur les questions linguistiques un
document, qui n'étant basé sur la vérité et la justice, puisse conduire a la
paix. Cette paix peut-être celle d'un cimetière, par la mort de la langue
valentienne.
Josep Boronat Gisbert
4-7-98
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