Même si l’intention manifeste, tant
en la commission passée dès les Cortes Valentiannes au CVC comme en la
posterieure aprovation de la Loi de creation de l’AVL, aie été éloigner
de la sphère politique le probleme linguistique valentienne, le résultat
a été bien au contraire, puisque:
Le CVC no s’est pronnencé, sino que il a redigé une negociation politique au
plus haut nivau entre les directions des deux partis majoritaires (PP-PSOE) et de
lequels, la prense valentienne nous a rendu complit bon compte.
Il n’y avait pas non plus aucun consensus, sino un accord (a la manière de
transaction comercielle) en une negociation ou pacte politique de la langue entre
les 2 partis majoritaires, la prouve de ce est les declarations publiques où
uniquement le PP et le PSOE (et ses partisans) sont satisfaits...et tous les autres
insatisfaits et deçus.
Ceux qui ont approuvé la loi de creation de l’AVL sont politiciens (diputés
autonomiques).
Le nomination et l’élection des futurs 21 mêmbres sera de caractère
absolutement politique.
La creation de ce nouveau organisme: AVL, ne va pas résoudre le probleme du
conflicte linguistique valentien, sino a supplanter, par moyens politiques, la
seule institution légitime pour codifier le valentien: la RACV.
Tout ce montage a repondu à un intérêt politique de sauver le pacte de
governement d’État Aznar-Pujol pour preserver la pretendue “unité de la
langue” que ce dernier reclamait; pour celà a été enveloppé de subterfuges,
circonlocutions et ambiguïtés, pour aider à oculter les vrais motives et
objectives. Une année avant de la sollicitude d’un pronnoncement au CVC,
Zaplana avait dejà commencé les contactes è trois parties
(1) Madrid-Barcelona-Valencia et il avait
dejà decidé la creation de cette nouvelle entité normative
(2):
“Jordi Pujol avertit à Aznar que il ne permettra pas des attaques à
l’unité de la langue... Jordi Pujol a reiteré sa défense de la langue
catalenne en tous ses variantes et il a averti que il ne acceptera des
attaques frontals “vengan de quien vengan” en contre cette unité
languistique” (3).
“CiU invite au populaires à appuyer l’ unité languistique”
(4).
Pilar Raola: “CiU doit casser avec le governament d’Aznar si le PP vote
en faveur du valentien” (5).
“Zaplana ne révéle pas ses contactes secrets avec Pujol parce ils sont
dans le cadre privé” (6).
“La Generalitat de Catalunya appouye l’idée de Zaplana de créer une
autorité languistique” (7).
La même sentence du Tribunal Suprem du 20 novembre1992 qui donne la raison
à Alternativa Universitaria en contre de l’Universitat de Valencia en la question
du conflicte languïstique, reconnaît la dimension politique
(8) de celui-là: “ Le fond du sujet n’est
pas academique ou languïstique, et celui les parties affrontés en ce recours
le savent bien: le fond du sujet est politique, et il faut commencer pour le
reconnaitre pour pas se poser des eufemismes inutiles. Le fond du sujet
constitue une manifestation d’un grave désaccord qui exister des de il y a des
annés en la societé valentienne...bien entendu que la langue a unes autres
dimentions en outre de la cientifique et academique: elle a une claire dimention
politique...”.
Un large reportage que le Levante offre (19 juillet 1998) titulé: “Les tailleurs du
pronnoncement- Estrategies de long atteinte”, dit: L’accord languïstique est
forgé dans le triángulo Valencia-Madrid-Barcelona”, il nous indique clairement
que les mrs. conseillers du CVC n’ont été que unes marionnetes obligés à
interpreter une farce. (9)
Pour tant, une fois reconnue que une des dimentions du problème est politique,
nous devrons convennir en la legitimation, bien plus, en l’obligation que des d’UV on a
pour élever par moyens politiques les dissens et les revendications des entités culturelles
et civiques valentianistes défenseures et diffuseures de la langue valentienne qui persiste
vivante dans le peuble valentien.
1. Levante, 19/7/1998.
2. Le 27 mai 1997, 15 jours avant de la grande manifestation a favor des normes d’El Puig du 13 de juin,
et par conséquent, avant de se produire “la commande” au CVC, l’agence EFE, Europa Press, El País CV
donnaient la nouvelle: “La Generalidad de Catalunya, à travers du Conseiller de la presidence, Xavier
Trias, a applaudi l’ intention du Presidente de la Generalitat Valenciana, Eduardo Zaplana, de créer un
organisme avec autorité languistique. Trias a affirmé que celui doit ètre crée d’ acorde avec l’Instituto de
Estudios Catalanes car si on a la même langue, c’est logique chercher procediments pour aprocher
positions”.
3. Levante, 8/81997. ""
4. Levante, 13/5/1997 
5. Las Provincias, 20/5/1997.
6. Levante, 20 maig, 1997. On peut constater que la date est antérieur même à
la manifestation du 13 juin.
7. Levante, 
8. Extrait du livre “Les clés du Pacte de la langue”

9. Levante, 18 juillet 1998, extrait du reportage “Les tailleurs du pronnoncement”. On peut extraire aussi
de ce même article: "Les fils de l’accord languïstique sont mouvés pardes intérés politiques de long
atteinte. Il y a trois bases poursuivies pour le président de la Generalitat, Eduardo Zaplana : deux
personelles et une strictement électoral. Zaplana qui a dit de toute façon que il veut uniquement exercer
le poste de premier dirigeant autonomique au cours de deux législatures, pretend se décerner une
médaille pour être le président qui a resous la bataille de la langue et, en passant, gagner la confiance
de Jordi Pujol pour que celui dit à Aznar les bontés du dirigeant valentien,dans son désir de ne conclure
pas sa carrière politique en Valencia".
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